Le Dominant

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il y a 7 ans

Le Dominant

Julie. Je l'ai rencontré sur Internet. Je vais enfin la voir. Mon cœur bat la chamade alors que je monte les escaliers qui conduisent à son appartement. Je lui ai dit que j'étais un dominateur aguerri. Que j'avais même déjà plusieurs soumises et que j'hésitais à prendre une débutante comme elle. Ca l'a excité, elle m'a même supplié... Si elle savait ! Ou peut-être le sait-elle, le ressent-elle mais qu'elle s'en fiche. Elle veut peut-être juste être ma chose...

J'arrive devant sa porte. Je prends une grande inspiration. Avoir l'air assuré... Et ne pas lui sauter dessus sauvagement ni me perdre en compliments sur la beauté de ses formes. Elle doit me sentir détaché, insensible à ses charmes. Je sonne. Elle regarde par le judas puis ouvre. Elle est nue, comme je le lui ai ordonné. Elle s'écarte pour me laisser le passage. Je reste dehors à scruter son corps. Je la f o r c e ainsi à rester exposée au regard d'éventuels voisins. Je la sens honteuse d'être ainsi détaillée et exposée au tout venant. Mais elle ne dit mots, attend mon bon vouloir sans bouger. Bon début. Je sens que cela l'excite autant que moi malgré, ou à cause de, sa honte...

Enfin je m'avance nonchalamment et referme la porte. Je glisse mon doigt le long de son flanc, effleurant son sein. Elle frémit mais ne bouge pas. Je me sens maître de son corps, cela m'excite. Je souris et l'embrasse délicatement. Elle me rend mon baiser et je sens son désir, sa fébrilité ...

"- Tu as peur ?"

"- Non, Monsieur."

"- C'est bien, tu pourrais pourtant... Dieu sait ce que je vais te faire subir... Mais tu es ma soumise, c'est ton rôle."

J'enlève mon manteau et ajoute :

"- Je m'appelle Christophe, je ne sais plus si je te l'ai dit... Je parle à tellement de femmes ..."

Quel menteur je fais... Mais ça fait son petit effet. Elle veut répondre, se présenter elle aussi. Mais je la devance, pose mon doigt sur ses lèvres :

"- Toi, tu es juste ma salope, ce sera ton nom."

Elle hoche la tête. Je me recule. Tourne autour d'elle, la fouille du regard. Je demande distraitement :

"- Comment t'appelles-tu ?"

"- Votre salope."

Elle n'est pas tombée dans le piège. Je ressens une étrange fierté. Comme si je venais d'apprendre un nouveau tour à un singe savant... Ou plutôt à une petite chienne, MA petite chienne :

"- C'est bien."

Je saisis un de ses seins et le caresse délicatement. Mon index passe sur son téton. Il est dur... J'ouvre mon pantalon et sors ma queue :

"- Suces-moi."

Elle s'agenouille, prend mon sexe et commence à le branler. Puis elle l'avale doucement. Je retiens un râle de plaisir. Je suis le Maître, elle ne doit pas savoir qu'elle me fait du bien, que j'ai besoin de ses lèvres. Je dis d'un ton aussi détaché que possible :

"- Tu te débrouilles bien... Tu mérites de devenir ma salope. Voilà ta récompense."

Je sors un collier et une laisse et lui passe au cou. Elle arrête alors de me sucer :

"- Merci, Christophe."

Je dis d'un ton courroucé :

"- Appelle moi Maître. Et tu peux parler la bouche pleine, ça ne me gênes pas, ma salope."

Elle me lèche les couilles, puis la verge, et elle l'enfourne ensuite aussi loin qu'elle le peut :

"- Efcuvez-moi, Maître. Ve fuis dévolé."

Oh mon Dieu ! Quel salope ! Je me retiens avec peine. Je lui caresse les cheveux. Sa langue s'active sur ma queue. Je commence à donner des coups de rein :

"- Tu as un très bon jeu de langue, ma salope. J'aime beaucoup"

"- Merfi, Maît..."

Ma bite interrompt sa phrase en l'étouffant. Elle pose sa main sur mes hanches et ouvre grand la bouche pour m'accueillir en elle. Mon sexe est raide comme rarement il l'a été. Pourtant elle l'avale sans trop de difficulté, toussotant et bavant juste quand il s'enfonce trop loin dans sa gorge :

"- Mon sexe n'est pas assez grand pour toi, ma salope ? Je suis déçu ..."

"- Fi, fi, Maître."

J'accélère le mouvement. Je saisis sa nuque et me penche légèrement en avant, tentant de l'étouffer avec ma bite. Elle reste immobile, supportant tout cela sans broncher :

"- Tu aimes mon sexe ? Réponds honnêtement !"

Elle arrive à répondre d'une voix étouffée :

"- Voui, Maître, ve l'adore dévà..."

Le fait qu'elle se f o r c e à répondre malgré les larmes qui coulent sur ses joues et sa difficulté à respirer m'excite terriblement :

"- Bien. Alors allonges-toi par terre, maintenant."

Je prend la laisse en main et relâche sa nuque. Elle s'exécute :

"- Voilà, Maître."

La voir ainsi offerte me donne envie de la prendre sur le champ... Mais je suis à fond dans mon rôle maintenant...

"- C'est bien, ma salope, tu es obéissante. Caresses-toi la chatte. Lèches-toi les seins aussi. Excites-moi, donnes-moi envie de te prendre."

Elle obéit en m'adressant un regard brulant. J'ai toutes les peines du monde à garder le contrôle ...

"- Tu as envie de me sentir en toi ? Montres-moi où, ma salope."

Elle ouvre grand la bouche et écartes son minou, sans mots dire. Très excitant :

"- Umm... Je vois... Tu vas être déçue alors. Tant pis, tu es là pour me satisfaire, pas l'inverse. A quatre pattes, vite."

Elle fait mine d'être déçue mais je sens bien qu'elle en a envie aussi... Elle n'y avait juste pas pensé. mais le fait qu'elle se f o r c e à paraître contrainte m'excite :

"- Voilà, Maître. Votre salope est à vous."

Je caresse son fessier rebondi. J'écarte ses fesses et contemple son anus :

"- Il a l'air serré... Je parie que tu n'avais pas prévu de te faire prendre ainsi. Enfin pas si tôt en tout cas... Ca t'embêtes ?"

Elle fait à nouveau semblant de se f o r c e r à répondre, masquant difficilement son propre désir :

"- Non, Maître."

"- Umm... Tu as l'air d'avoir vraiment envie... Ca me couperait presque l'envie, j'ai l'impression de te faire une faveur..."

Je lui donne une claque sur les fesses, elle gémit :

"- J'hésite... Tu penses que tu le mérites ?"

"- Non, Maître. Mais j'aimerai tellement vous plaire..."

Mon gland caresse sa rondelle :

"- Umm, c'est vrai que tu ne le mérites pas..."

Je retires mon gland, contemple son arrière-train offert. Je vois que sa chatte est trempée... Je murmure :

"- Mais j'ai trop envie de toi, ma salope. Tu as de la chance."

Je saisis ses hanches et entre d'un coup sec dans son beau cul serré. Elle crie de douleur. Ses bras avant lâchent et elle tombe face au sol, les fesses dressées vers le ciel :

"- Tu as dis ? J'ai mal entendu..."

Je lui redonne un v i o l ent coup de hanche. Elle serre les dents :

"- Rien, Maître, excusez-moi."

"- Ah bon. J'ai eu peur, j'ai cru que tu n'aimais pas..."

Nouveau coup de hanche, petit gémissement contenu :

"- Si, Maître. Merci, Maître."

Je l'encule sans mots dire pendant quelques instants puis m'arrête, le sexe calé au fond de son anus :

"- Tu en veux plus, ma salope ?"

"- Oui, Maître, s'il vous plait."

Mes doigts fouillent sa chatte, triturent ses seins :

"- Supplies-moi, alors."

"- S'il vous plait, Maître, enculez-moi."

"- Mieux que ça, on dirait que tu me demandes de te servir un coup à boire..."

J'ajoute, goguenard :

"- Remarque tu l'auras, ton coup à boire, ma salope... Plus tard."

Elle dit alors :

"- Enculez-moi, Maître. Votre chienne servile vous en supplie."

Je souris, victorieux :

"- C'est beaucoup mieux. Tu as mérité ma bite."

Je l'encule à nouveau. Je tire sur sa laisse pour la faire se remettre à quatre pattes. Puis je tire un peu plus, l'étranglant et la f o r ç a nt à se relever lentement. Elle pousse un petit cri de douleur et de surprise :

"- Umm, tu m'excites..."

Je sors des menottes et attache ses mains devant elle :

"- Tu vois, je suis gentil, tu pourras quand même te masser le seins et te doigter... Enfin si je t'y autorise."

"- Merci, Maître."

Je lui donne une claque sur les fesses :

"- Brave petit salope."

Je m'assoie par terre et la saisi par les hanches pour planter son cul à nouveau. Je lui mets alors un bandeau sur les yeux et susurre :

"- Ca devrait décupler tes sensations..."

Puis je me défoule en la pilonnant v i o l emment. Elle crie :

"- AIIE.. Umm, oh oui, Maît... AIIIE"

Mes mains pétrissent ses seins sans ménagement. Ma langue glisse sur son cou. J'écarte ses longs cheveux, admire sa nuque :

"- Tu es belle, ma salope..."

"- Merci, Maître."

J'arrête alors de la prendre, me relève. Elle veux faire de même mais je dis :

"- Mets-toi à quatre pattes, tu es ma petite chienne maintenant."

Elle s'exécute :

"- Oui, Maître."

Je fronce les sourcils et dit d'un ton déçu :

"- Ca ne parle pas une chienne que je sache... Tu n'as pas envie d'être ma petite chienne ?"

Elle jappe. Je souris. Je lui flatte la tête :

"- Brave petite chienne."

Je ne m'occupe ensuite plus d'elle, me contentant de tenir sa laisse :

"- Bien, visitons cet appartement."

Elle essaie de me suivre malgré son bandeau et ses menottes. Je fais mine de l'ignorer mais son air perdu m'excite terriblement. A chaque pièce où je m'arrête elle se place à mes côtés et je lui flatte le dos. Le salon : table basse, chaise, canapé. Je murmure :

"- Parfait."

Puis la chambre, la salle de bain, et enfin la cuisine. Je me sens inspiré :

"- Viens ma chienne."

"- Oui, Maître."

Je m'agenouille face à elle et la sermonne :

"- Tu es ma petite chienne, tu as oublié ? Tu peux japper, gémir, mais pas parler... Tu pourras à nouveau parler quand tu seras redevenue ma salope."

J'attends quelques secondes avant d'ajouter :

"- Là tu es ma chienne, compris ?"

Elle jappe faiblement, comme pour s'excuser. Je souris, lui caresse la tête :

"- Bien, tu es pardonnée pour cette fois..."

Je m'approche de la table. Puis je tire sur sa laisse et l'approche du pied de la table :

"- Renifles. Tu reconnais ?"

Elle obéit. Puis jappe. Elle est très douée. Pour un peu je l'imaginerai frétillant sa queue de contentement...

"- Allez, montes sur la table !"

Elle essaie tant bien que mal de monter sur la chaise puis la table en restant à quatre pattes. Et ce malgré les menottes. Je suis fière d'elle :

"- Mets-toi debout, ma salope !"

"- Oui, Maître."

Je souris :

"- Tu comprends vite, c'est bien... Hein, ma petite chienne ?"

Elle jappe. Je la regarde en rigolant :

"- Bien, ma salope, ne bouge pas."

Je relâche la laisse, elle pend entre ses cuisses. Je tourne autour d'elle, mes doigts glissent parfois sur son corps tremblant de désir. Je m'arrête derrière elle et tire sur la laisse. Elle vient mordre son intimité :

"- Tu aimes ?"

"- Oui, Maître."

L'humidité de sa chatte ne dément pas ses dires... Je donne de petits coups secs :

"- Plus que ma queue ?"

"- Non, Maître, rien ne surpasse la sensation de votre sexe en moi."

"- Tu veux à nouveau le sentir en toi ?"

Je caresse son mollet, sa cuisse...

"- Oui, Maître, si vous le désirez."

Je fronce les sourcils et dis d'un ton mauvais :

"- Non, mauvaise réponse..."

Je lui administre une v i o l ente claque sur la fesse. Elle pousse un petit cri :

"- Pardon, Maître."

"- Allez, reformules ta réponse. Et ne me déçois pas cette fois-ci !"

Je sens qu'elle réfléchit, qu'elle cherche ce qui pourrait me plaire. C'est excitant... Enfin elle dit :

"- Je veux sentir votre sexe en moi, Maître. Je l'aime tellement. Puis-je l'avoir ? S'il vous plait... Par pitié..."

Je souris de satisfaction, je suis excité comme rarement. J'ai très envie d'elle. Je lui donne une petite tape de félicitation sur la cuisse :

"- Bien, c'est nettement mieux. Tu vois, quand tu veux."

"- Oui, Maitre. Pardonnez-moi, Maître."

"- Ce n'est pas grave, tu apprends. Allonges-toi sur la table, ma salope."

Elle s'agenouille, puis s'allonge :

"- Sur le dos, fait pendre ta tête dans le vide."

"- Voilà , Maître."

Je glisse ma bite dans sa bouche et commence à l'étouffer à grands coups de hanche :

"- Je veux qu'elle soit bien dure pour toi, c'est pour ça. Tu es contente ?"

Elle essaie de répondre mais la bave et mes coups de bite rend sa réponse inintelligible. Elle se contente de hocher tant bien que mal la tête en disant :

"- Umm, umm..."

Je caresse son visage, retire son bandeau, goûte sa salive et ses larmes. Son maquillage est complètement ruiné. Puis j'arrête mes mouvements et me penche en avant plongeant mon sexe dans sa bouche. Mes mains explorent ses courbes. J'écarte ses cuisses et admire l'humidité de sa chatte. Je la lèche délicatement :

"- Tu me veux en toi, alors ?"

"- Umm, umm..."

Je ressors mon sexe. Je tourne alors autour d'elle, mon index glissant sur son corps. Elle frémit, gémit. J'ai une folle envie d'elle. Mais je veux la f o r c e r à briser le silence, à me réclamer... Je continue mon manège, guettant son appel. Le fait que je sache qu'elle se retient aussi rend le jeu d'autant plus excitant... Elle écarte les cuisses et dit enfin, dans un soupir :

"- S'il vous plait, Maître..."

Je dis d'un ton distrait :

"- Umm, oui, que veux-tu, ma salope ?"

"- Prenez-moi comme une chienne, par pitié. Je veux être votre objet."

Je répond, pensif :

"- Umm... Non, je t'ai déjà prise comme une chienne... Là j'ai envie que tu sois ma salope. Tu en as envie aussi ?"

"- Bien sur, Maître. S'il vous plait."

Je résiste à mes instincts primaires... Elle va en prendre pour son grade quand je me libérerais enfin... Je demande :

"- Décris-moi ce que tu voudrais que je te fasse, ce que tu voudrais ressentir. Donnes-moi envie."

"- Oui, Maître. J'ai envie de me sentir inférieur, votre chose. Envie que vous me preniez."

"- Racontes-moi ce que tu vas ressentir quand je vais entrer en toi..."

"- Je vais vibrer, me sentir pleine. Je vais jouir comme jamais je n'ai joui..."

J'ai de plus en plus de mal à me retenir. Je scrute sa chatte humide avec envie. Je murmure :

"- Oh, oui, tu vas aimer..."

Je me place entre ses cuisses :

"- Redis-moi ce que tu veux, ma salope ?"

"- Je veux votre queue en moi, Maître. Je veux être votre sex-toy."

Je relâche alors toutes mes pulsions et mon sexe entre v i o l emment en elle. Elle est surprise mais se contente de pousser un gémissement de satisfaction. Je saisis sa gorge pour lui maintenir la tête en arrière :

"- Tu aimes, salope ? C'est ça que tu voulais ? Tu adores te faire prendre comme une pute ?"

Elle répond d'une voix étranglée :

"- Oui, Maître. Ravagez-moi, Maitre. Je suis votre pute, votre salope, votre chienne..."

Je continue à la limer sauvagement et ne tarde pas à éjaculer. Je ressors ma queue pour que les derniers jets atterrissent sur son ventre, son pubis. Elle se caresse la chatte pendant que je me finis sur elle. Je fais ensuite le tour de la table et sa langue extrait un peu plus de ma semence. Enfin elle récolte le sperme sur son corps. Parfois elle l'avale goulument, ou alors elle le glisse dans sa chatte. Je regarde son corps. Elle s'étire ensuite. Elle parait fatiguée. Je la laisse se reposer en caressant sa chevelure. Puis je tire sur la laisse et dis :

"- Allez, ma petite chienne ! Allons nous étendre sur le lit !"

Elle jappe faiblement, puis descend à quatre pattes sur la chaise et le sol. Nous nous dirigeons alors vers la chambre. Je m'allonge sur le lit, son lit. Elle attend à quatre pattes au pied de celui-ci. Puis elle fini par se rouler en boule. Je caresse son corps. Enfin je dis :

"- Tu as été une brave chienne, viens dormir avec ton Maître !"

Elle jappe sur un ton heureux et saute sur le lit. Elle me donne un grand coup de langue sur le visage. Je la caresse. Puis elle s'endort dans mes bras...

Charlotte monte l'escalier, le cœur battant. Elle est très excitée à l'idée d'avoir une nouvelle soumise. Cela faisait longtemps. Elle est un peu embêtée d'avoir à la partager avec son Maître... Mais il ne baise pas trop mal et à l'air de prendre son rôle à cœur. Cela avait énormément excitée la jeune vendeuse. Et puis elle partage un petit secret avec cette Julie : elle sait comment la contenter mieux que son Maître...

Elle arrive enfin à l'appartement et sonne. J'ouvre et lui sourit :

"- Bonjour, ma chère Charlotte ! Ma petite salope était très impatiente..."

Je la scrute, détaille ses courbes :

"- Et moi aussi..."

Elle entre. Julie l'accueille, nue, sa laisse pendant entre ses seins. Elle sourit :

"- Bonjour !"

Je fronce les sourcils :

"- Voyons, ma salope, ne t'ais-je pas dit qui elle était ?"

Je tends la laisse à Charlotte et cette dernière rentre immédiatement dans son rôle. Elle gifle ma chienne et lui hurle :

"- Ne sois pas si insolente en me parlant !"

"- Pardon, Mademoiselle ..."

Nouvelle gifle. Julie est au bord des larmes. Elle était si heureuse, elle ne comprend pas...

"- Maîtresse ! Appelles-moi Maîtresse ! Ton Maître ne t'as donc rien appris ?"

Elle tombe à ses pieds, les embrasse en pleurnichant :

"- Pardon, Maîtresse, pardon. Je serais une gentille chienne obéissante, c'est promis."

"- Sois indulgente avec elle, Charlotte, c'est tout nouveau pour elle..."

Elle me décoche un regard venimeux :

"- Tu es trop doux avec elle, Chris."

Je bafouille :

"- Euh, oui, peut-être... Mais elle est si docile, c'est dur de ne pas s'attacher, tu verras !"

"- Umm... Oui, on verra..."

Elle sort alors un paquet de son sac. Elle l'ouvre et en sort l'ensemble que j'avais fait essayer à Julie. Elle me le montre :

"- Voilà, comme convenu, le cadeau pour notre salope. Je l'ai fait un peu customiser..."

Elle me montre le tour du cou avec le nom 'Petite chienne' et 'Salope Julie'. Et les gants. Le droit avec 'Maître Chris' et le gauche marqué 'Maîtresse Charlotte'. Elle me sourit :

"- Ca te plait ?"

Je l'embrasse. Ca la déstabilise. Elle était plus à l'aise dans son magasin... A croire qu'elle ne faisait pas ça pour la première fois avec des clients ! Elle reprend vite le dessus se retourne vers Julie et dit :

"- Mais je ne sais pas si elle le mérite, finalement ..."

Je la serre dans mes bras l'embrasse dans le cou. Je sens son excitation monter. Ma main, caresse sa poitrine. Je murmure :

"- Et si on lui demandait d'essayer ? On pourrait juger si ça nous plait... C'est ce qui est important, non ?"

Elle rougit, bafouille :

"- Euh, oui..."

Je souris. Elle veut s'extraire de mon étreinte mais ma main glisse dans sa jupe et elle se laisse aller. Enfin je la laisse partir. Elle me regarde ;

"- Umm... N'oublies pas que je ne suis pas ta soumise..."

Elle se lèche les lèvres. Je souris :

"- Bien sûr. Tu es ma compagne de jeu."

Je regarde Julie :

"- Et elle, c'est notre jouet !"

Charlotte à un sourire amusé puis elle habille notre petite chienne comme une poupée. Elle en profite pour la caresser, la lécher. Julie se plie à ses moindres désirs. Je sens sa peur de déplaire mais aussi sa joie d'être ainsi la chose de cette femme. Je me délecte du spectacle. Je sens que ça va être très intéressant...

Charlotte a fini d'habiller sa Barbie. Elle tourne autour d'elle, l'inspecte du regard. Elle parait satisfaite. Elle dit alors :

"- Tu vois, ma petite chienne, il y a le nom de tes Maîtres sur les gants. Comme ça, si tu es seule, tu pourras les mettre et t'imaginer que c'est nous qui te caressons lorsque tu te masturberas..."

Umm... Quelle perversité d'avoir pensé à ça ! Cette Charlotte m'excite vraiment. Je dit en souriant :

"- Alors, Charlotte ? Ne penses-tu pas que notre salope est bien mieux ainsi ?"

Je sens qu'elle veut rétorquer quelque chose. Mais finalement elle se contente de laisser courir son doigt sur Julie et de dire en le plantant dans sa chatte :

"- Tu as raison. Mais il faut encore qu'elle se fasse pardonner... N'est-ce pas, ma petite chienne ?"

Julie jappe. Charlotte sourit. Elle la doigte plus fort, dégage son cou pour y déposer un baiser. Je m'approche d'elles et pose mes mains sur la taille de Julie. Nous nous embrassons tous les trois. Je saisis la laisse de notre soumise :

"- Allons nous mettre à l'aise..."

J'entraine ma chienne vers la chambre. Charlotte ferme la porte avant de nous rejoindre et je jette un regard amusé à Julie dont le visage devient pivoine à l'idée d'avoir été offerte au regard de ceux qui aurait pu passer pendant tout ce temps...

Elle s'agenouille sur le côté du lit et attend patiemment. Charlotte s'assoit à mes côtés et nous commençons à nous embrasser, nous caresser. Je crois qu'elle ne regrette plus ma présence. Elle semble même avoir oublié Julie l'espace d'un instant... Mais celle-ci vient à ses genoux et lui embrasse les jambes :

"- C'est pour vous remercier de votre gentillesse, Maîtresse."

Charlotte lui caresse les cheveux puis dit sans la regarder :

"- Voyons, ma chienne. Tu sais comment me remercier mieux que ça, non ?"

Elle écarte les cuisses. Ma main s'y dirige mais elle m'attr a p e le poignet, pose ma main sur sa poitrine :

"- Laisses faire notre chienne, c'est son travail. Toi, tu as mieux à faire..."

Nous échangeons un regard enfiévré...

"- Oui, tu as raison."

Je l'embrasse fougueusement, malaxe sa poitrine. Julie s'est engouffrée sous sa jupe pour la lécher, la doigter. Je soulève la jupe et constate qu'elle n'avait pas de culotte. Je souris :

"- On est fait pour s'entendre..."

"- Tu crois ?"

Charlotte sort mon sexe et me masturbe. Je la regarde, mon doigt caresse son clitoris. Je l'embrasse puis sors ses seins de son chemisier, les soupèse et dis :

"- J'en ai la certitude..."

Je plonge alors sur ses mamelons et les tète goulument. Elle soupire de plaisir en me serrant contre elle. Je sens sa main me caresser plus vigoureusement. Julie me caresse les couilles en continuant à lécher sa Maîtresse. Mes doigts jouent avec sa chevelure alors que je continue à sucer le délicieux tétons de ma partenaire. Je murmure :

"- Rendez-moi bien dur..."

La main de Charlotte descend sur mes bourses et je sens alors la langue de Julie le long de ma hampe. Mais ma compagne saisis les cheveux de notre chienne avant qu'elle n'ait eu le temps d'avaler mon sexe et lui plaque le visage sur sa vulve. Je me sens frustré. Elle me sourit en me branlant à nouveau :

"- Eloignes-toi un peu, tu vas voir un spectacle que tu ne regretteras pas..."

J'obtempère à contrecœur. Mais Charlotte a des idées qui me plaisent... Je la vois relâcher la tête de Julie. Puis elle se lèche la poitrine en m'adressant un regard langoureux avant d'agiter ses seins devant les yeux de notre chienne. Elle dit alors :

"- Allez ma chienne, viens !"

Elle va alors s'allonger sur le lit et Julie ne se fait pas prier pour la rejoindre. Elle lui embrasse et lèche les seins. Mais elle ne m'oublie pas. Elle trémousse son joli fessier, écarte ses cuisses puis utilise ses doigts pour me montrer l'intérieur de son intimité. Elle se doigte, passe son majeur entre les lèvres de son intimité et une folle envie de la faire mienne m'envahit. Mais je me retiens. Charlotte me regarde et dit :

"- Regardes comme elle aime ça ! Ca ne te donne pas envie, Chris ?"

Je ne réponds pas mais mon sexe dressé le fait pour moi. Je m'approche d'elles, caresse le corps de notre chienne. Mes doigts glissent en elle. Elle me laisse faire et sa main remonte vers la poitrine de Charlotte. Celle-ci soupire de plaisir :

"- Vas-y, Chris, continue, ca lui donne encore plus envie de me lécher à cette chienne..."

Julie lui titille les tétons avant de l'embrasser. Sa Maîtresse lui caresse le visage en lui demandant :

"- Tu as envie qu'il te prenne ?"

"- Oh oui, Maîtresse !"

Elle sourit :

"- Plus tard, peut-être... Je veux goûter à ta chatte, ma belle."

Elle l'embrasse.

Je sors mes doigts du vagin de notre soumise et elle s'allonge alors sur le dos. Elle lève les jambes en les écartant. Charlotte commence à la lécher et la doigter. Les voir ainsi est frustrant et excitant à la fois... Je m'assied aux côtés de Julie et l'embrasse en caressant sa poitrine. Elle me masturbe tendrement. Je lui souris :

"- Tu es une bonne chienne..."

Charlotte s'active maintenant à frotter sa chatte contre la sienne. Elle pose son pied sur le visage de notre chienne et cette dernière commence immédiatement à lui sucer les orteils avec application. Elle pousse un gémissement de plaisir et dit, haletante :

"- Je retire ce que j'ai dis en arrivant : elle est très bien éduquée."

Je souris :

"- Je t'avais dit que tu aimerais."

J'embrasse à nouveau les tétons de notre chienne puis je l'aide à sucer les doigts de pieds de notre compagne. Elle soupire :

"- Oh oui, continuez..."

Elle pose sa main sur son intimité et ses doigts s'enfoncent dans son intimité ainsi que celle de Julie. Cette dernière approche mon sexe de sa bouche. Je me place de manière à pouvoir lui prendre la bouche et commence à bouger mes hanches. Puis je me retournes. Mes lèvres rejoignent alors celles des fleurs de mes deux compagnes. Je les lèche tour à tour délicatement. Charlotte gémit, Julie amplifie sa succion. Charlotte se caresse les seins, elle a l'air très excitée... J'enfonce mes doigts en elle et demande :

"- Tu veux quelque chose ?"

Elle hoche la tête. Je la lèche puis m'écarte pour lui laisser la place. Elle se place sur Julie et lui présente ses mamelons dressés :

"- Suces, ma chienne, suces bien."

Notre soumise s'y applique, les aspirant avec f o r c e , les mordillant. Elle pétrit ardemment l'autre sein. Charlotte gémit. Elle n'a pas besoin de me demander, je sais ce qu'elle veut... Je me place derrière elle, frotte sa vulve humide du doigt, puis du gland. Elle pousse un nouveau cri de plaisir. Je m'enfonce délicatement en elle, me penche en avant et l'embrasse alors que ses seins commencent à ballotter entre les lèvres d notre chienne au rythme de notre étreinte. Mes mains caressent le corps de Julie : son ventre, ses hanches. Charlotte glisse ses doigts dans le sexe de sa compagne. Cette dernière l'embrasse et fais de même. Je sens les doigts de Julie au côté de mon sexe et cela renf o r c e mon excitation. Elle caresse mon sexe en même temps que celui de Charlotte. Elle murmure :

"- Prenez-moi aussi, Maître, j'en ai tellement envie..."

Je chuchotes à ma compagne :

"- Tu crois qu'elle l'a mérité ?"

Je donne un bon coup de hanche et elle gémit avant de répondre :

"- Je ne sais pas... Que pourrait-elle faire pour le mériter ?"

Je continue à la prendre silencieusement puis elle ajoute, haletante :

"- Je sais... Il faut qu'elle me fasse avoir un orgasme ! Tu pourras attendre, Chris ?"

Je lui mordille gentiment l'oreille :

"- Ca va être dur. En même temps tu es déjà bien chaude ça ne devrait pas être si long..."

Elle sourit. Puis, elle répond :

"- Non, en effet. Enfin, ca dépendra de notre chienne. Mais elle m'a l'air douée."

Elle embrasse alors Julie et lui demande :

"- Tu te sens capable de relever le défi, ma salope ?"

"- Oui, Maîtresse. Tout pour mériter la queue de mon maître !"

"- Brave chienne..."

Je m'éloigne à nouveau. Je m'assoie dans un fauteuil en admirant la scène. Julie vient au dessus de sa maîtresse et l'embrasse langoureusement. Leurs langues s'entremêlent, leurs salives se mélangent, leurs seins frottent l'un contre l'autre. Puis elle descend lentement, caressant le flanc de Charlotte. Sa langue passe dans la vallon de ses seins, ses doigts viennent en pincer les tétons. Sa Maîtresse se laisse aller, agrippe les draps, se mord les lèvres pour retarder la jouissance qu'elle sent déjà monter. Elle ne sera pas vaincue si facilement. Julie descend à nouveau, caresse, lèche les abords du sexe trempé de mouille de sa partenaire. Puis elle descend le long de sa cuisse, son mollet et lui lèche les pieds, lui suce les orteils. Sa main glisse le long de la jambe de Charlotte et vient se poser sur son pubis, elle frémit. Le pouce de Julie caresse son clitoris. Elle commence à remonter entre les cuisses de sa Maîtresse. Elle enfonce ses doigts dans le vagin de cette dernière. Enfin elle se suce les doigts, m'adresse un sourire et dépose un tendre baiser sur l'intimité de sa compagne. Charlotte hurle son excitation. Elle mouille abondamment. Julie s'active alors à lui donner toujours plus de plaisir, elle la doigt avec doucement. Puis de plus en plus fort. Charlotte lui ordonne de lui v i o l er la chatte. Elle mordille alors les pétales de sa fleur et sa Maîtresse pousse un long soupir. Elle pétrit sa poitrine en lui plantant sa langue dans la chatte. Enfin elle ramène ses doigts, écarte les lèvres du vagin de Charlotte pour me montrer l'intérieur palpitant de désir, et enfin elle y plonge ses doigts la masturbe brutalement. Charlotte perd la tête, hurle, lui plaque la tête sur sa vulve. Elle se contente de la lécher plus fort, introduit deux doigt dans son anus. Enfin sa Maîtresse cède : elle jouit. Elle tremble de tout son corps, geint, hurle, la supplie même. Elle s'active alors comme jamais pour parfaire son extase.

Julie continue sans mot dire à masturber Charlotte. Elle n'ose réclamer ce qu'elle a mérité, ce qu'elle veut maintenant plus que tout. Ses tétons dressés et sa chatte trempé parle pour elle du désir qu'elle tait. Sa Maîtresse reprend ses esprits et murmure :

"- Tu as été parfaite. Une vraie salope. Vas te faire défoncer, tu l'as mérité."

Elle me regarde avec envie. Je me retiens de lui sauter dessus. Je me lève le plus calmement possible. Je m'approche d'elle et murmure :

"- Tu as été très bien, c'était merveilleux. Dis-moi ce que tu veux maintenant, je te le donnerais."

"- Enculez-moi, Maître."

Je suis un peu étonné, j'aurais cru qu'elle aurait un peu attendu...

"- Tu es sûre ?"

"- Oui, Maître, défoncez-moi le cul sauvagement. J'ai envie que vous vous vidiez en moi, que vous preniez votre pied avec mon corps."

Je déglutis difficilement, tentant de garder un semblant de self-control. Charlotte sourit et me suce. J'éjacule presque de surprise. Elle me regarde, amusée, me branle doucement :

"- Voyons, ne pars pas si vite, ta chienne mérite mieux..."

Je souris moi aussi :

"- Tu as raison."

Je l'embrasse. Ma chienne est à quatre pattes. Elle attend avec une impatience difficilement contenue d'être prise elle aussi. Je la regarde et pose mes mains sur ses hanches. Je lui dis :

"- Tu vas peut-être avoir un peu mal, je me sens très frustré..."

"- Ce n'est pas grave, Maître. J'en ai follement envie moi aussi."

Il n'en faut pas plus pour déclencher mon désir. Je la prends brutalement. Elle hurle. Je la ramone, la lime. Elle pousse des cris, des hurlements, des gémissements, des râles. De douleur, de jouissance ? Cela n'a plus d'importance, ni pour moi, ni pour elle. Charlotte nous regarde en se masturbant. Nous formons décidément un sacré trio...

Talis Cat

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